Il délivrera le pauvre qui crie, et le malheureux qui n’a point d’aide.
Psaume 72.12
La responsabilité de protéger les civils d’un pays où ils sont en danger est un principe reconnu en 2005 par l’Assemblée générale des Nations Unies. Certains pays ne sont pas d’accord : leurs dirigeants estiment qu’il s’agit d’une ingérence dans la souveraineté d’un État. Des choix moraux importants et délicats s’imposent donc à l’ONU.
Comme ce droit d’intervention a été approuvé, tous les pays doivent accepter la décision de la majorité. La démocratie est reconnue tacitement comme « le meilleur système jusqu’ici » pour gouverner. Pourquoi ce droit d’ingérence a-t-il été voté ? Parce que tant de gouvernants font fi de la situation des populations qu’ils dirigent.
Est-il concevable qu’un homme gouverne son peuple selon une justice absolue et reste en même temps rempli de mansuétude envers tous ? Les pauvres comme les riches, les mécréants comme ceux qui sont droits, les égoïstes ainsi que les humbles ? Un tel dirigeant semble introuvable.
Pourtant, Dieu déclare qu’il établira un tel roi1 : c’est son Fils ressuscité et immortel, Jésus-Christ ! Son règne a commencé sur ses sujets – ceux qui ont cru en lui. Mais, par la suite, ce roi sera établi sur le monde entier2.
Les promesses du Psaume 72 s’accompliront pleinement alors.
Pierre Wheeler
1 Psaume 2.6 2 Matthieu 25.31
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Lecture proposée : Psaume 72, versets 1 à 8.
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