Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur.
Matthieu 21.9
Un triple album de 58 chansons intitulé « Intimes Convictions » d’Yves Duteil, sorti en 2011, contient des échos des expériences vécues par l’auteur.
Dans un article de « La Vie », Yves Duteil déclare militer « pour la défense de la fragilité ». Est-ce aussi ressenti par ceux qui écoutent ses chansons ? La compassion pour les fragiles a-t-elle touché le cœur du public quand, par sa chanson « Prendre un enfant par la main », il est sorti de l’anonymat ? Peut-être.
Toujours est-il que notre société a besoin de rappeler la fragilité de beaucoup de citoyens et du besoin de douceur dans les rapports humains. « La douceur, dit Duteil, est ce qui fait le plus défaut dans notre société. » Le parent pauvre des trois éléments de notre devise républicaine a toujours été la fraternité, grand frère de la douceur. Les philosophes, les chanteurs, les politiques, les écrivains sont appelés à mettre ces vertus humaines en avant. Dans leurs paroles, et par l’exemple.
Le plus fort exemple de la fraternité, de la compassion et de la douceur dans toute l’histoire humaine est Jésus-Christ. Dans le récit de l’entrée de Jésus dans Jérusalem, le dimanche des Rameaux, Matthieu cite une prédiction de l’Ancien Testament : Voici ton Roi vient à toi, plein de douceur.1
Acclamons aussi ce roi, Jésus, comme notre roi !
Pierre Wheeler
1 Matthieu 21.5
_________________
Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 21, versets 1 à 9.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire