Psaume 107.30

L’un d’eux parle de son besoin d’être aimé. Une autre, fière d’être jeune, réfléchit sur « les vieux qui ont perdu leurs rêves », tandis qu’une autre constate que la gentillesse dans la vie « compte le plus ». Un autre encore a besoin d’être gardé « de ressembler à son père », mort d’une overdose. « Par l’influence de la télé et des copains, écrit un cinquième, on risque de vivre “comme des robots” ». Le sixième, aveugle, affirme : « On choisit qui on est ».
Ils sont chacun pour sa part – et nous sommes tous – comme un marin à bord de son voilier, naviguant vers l’horizon sur une succession de creux et de crêtes de vagues. Comment le diriger au mieux et maintenir le cap ?
Sachons qu’il y a quelqu’un qui peut nous conduire à bon port. Pendant mon adolescence, rêvant à mon avenir, au nécessaire, au beau et à ce qui serait le « sommet » de ma vie vingt ans plus tard, j’ai demandé à quelqu’un d’être mon mentor, mon conseiller, oui, le maître de ma vie. Il se nomme Jésus-Christ. Et il m’a conduit. Je suis loin d’être le seul qui l’ait choisi. Il est le meilleur commandant de bord qui soit.
Demandez-lui donc aussi de prendre la barre de votre voilier.
Pierre Wheeler
__________________
Lecture proposée : Psaume 107, versets 23 à 32.